L. Dovonan - Getting inspired

Entrons ici dans le vif du sujet : c'est le moment d'en dire d'avantage à ton sujet. Tu as deux solutions : tu peux nous compter ton histoire en détail, ou, répondre aux quelques questions ci-dessous. C'est l'un ou l'autre. Supprimes la partie que tu n'utiliseras pas.


• Depuis quand es-tu à Berkeley ? Pour commencer, Loucas n’est pas réellement à Berkeley, c’est simplement là où se trouvent les bureaux de sa maison d’édition. Il s’y rend donc à intervalles réguliers, ces derniers temps surtout pour se faire passer un savon par le responsable éditorial lui-même. Il a vécu toute sa vie entre Berkeley et San Francisco, d’abord parce qu’il passait de chez son père à chez sa mère, deux fois par mois, et ensuite, il a occupé avec sa copine de longue date, devenue sa femme, une maison dans la banlieue de Berkeley. A une ou deux exceptions près, il a été très heureux dans cette ville, raison pour laquelle il a été obligé de déménager à la mort d’Olivia. Depuis, il occupe un appartement de l’autre côté de la baie, un loft aménagé dans un ancien bâtiment d’usine.
Le jeune auteur, bien qu’il aime sa garçonnière, n’est pas réfractaire à l’idée de déménager à nouveau, pour se rapprocher des bureaux de la succursale. Avec l’espoir, aussi qu’un changement serait peut-être bénéfique pour son état d’esprit et le syndrome de la page blanche qu’il traîne depuis trois ans.
• Quelle est la pire chose qui te soit arrivée ? Sans hésitation, le plus gros traumatisme de Loucas est la perte de sa femme Olivia, peu après la publication de son second roman. En la rencontrant, il a aussi trouvé un sens à sa vie, parce qu’elle a été le déclencheur de son inspiration. Leur histoire avait commencé dans une soirée, après les cours, ils avaient tous les deux 20 ans. Ils ont commencé à sortir ensemble dès la semaine suivante, et se sont mariés le jour de leur rencontre, cinq ans plus tard. Après trois ans de bonheur à deux, ils ont commencé à essayer de fonder une famille. Et elle est morte, d’un AVC que personne n’aurait pu prévoir. Loucas aurait préféré en vouloir à quelqu’un, mais il n’a eu le droit qu’au vide. La partie visible de l’iceberg est la panne d’inspiration qui le poursuit depuis. Rien de ce qu’il écrit ne trouve grâce à ses yeux, et il ne parvient pas à savoir si ce n’est qu’une passade ou un état désormais permanent.
• La meilleure ? Le succès de son premier roman a été l’un des plus grands bonheurs de sa vie, quand il a vu le nombre des ventes s’envoler, il n’a pas pu y croire. Le fait est qu’il n’aurait jamais imaginé devenir un jour écrivain, et voir que la passion qu’il s’était découverte tardivement était quelque chose que le reste du monde attendait, d’une certaine manière, ça a été une révélation et un ravissement sans égal. En un mot, la consécration inattendue lui a permis de comprendre ce pour quoi il était bon, ce pour quoi il était fait, et étant donné le marasme qu’était sa vie avant qu’il ne se mette à écrire, ce n’était pas rien.
• Comment te décriraient tes proches ? Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla
• A quoi ressemble la journée parfaite à tes yeux ? Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla
• Que penses-tu de la rivalité entre Smart Tech & Global Group ? Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla Blablabla